Comment les étudiants en Commerce perçoivent-ils le monde ?

12 questions que nous avions envie de poser à nos futurs managers export.

Questions posées à des BTS Commerce international du lycée Édouard Gand d’Amiens. La classe a été séparée en 5 groupes sauf un seul étudiant qui souhaitait pouvoir s’exprimer seul. Nous avons laissé les réponses des étudiants telles quelles, avec leurs mots, et expressions...

Groupe 1 : Simonssen ; Adam ; Clément ; Félix    (TS1CI)
Groupe 2 : Julia ; Ihlem ; Charles ; Marine ; Maroy
Groupe 3 : Catherine ; Manuel ; Sandy ; Armelle ;  Léa
Groupe 4 : Yassmine ; Maryam ; Soukaina Yassmin
Groupe 5 : Thomas ; Aurélien  ; Steevy ; Flavien
Groupe 6 : Un étudiant qui a souhaité répondre seul : Guevorg


1.    Comment percevez-vous la mondialisation ?


Groupe 1 : La mondialisation se traduit par l’interdépendance de toutes les économies nationales et qui s’accroit de plus en plus depuis les années 90, cela donne de la puissance aux multinationales. Internet permet cela grâce aux TIC.

Groupe 2 : Nous pensons que la mondialisation est un processus positif car cela favorise les relations interculturelles puisque les pays échangent des biens et des services.
C’est ainsi que chacun répond à ses besoins et à ceux des autres

Groupe 3 : La mondialisation est un processus qui a permis de nombreux échanges et interactions, elle a régit le commerce et est perçue aujourd’hui comme indispensable mais celle-ci n’est pourtant pas une question de survie. Les hommes éprouvent un grand nombre de besoins plus ou moins importants donc il est parfois, nécessaire d’importer ou d’exporter.

Groupe 4 : La mondialisation est un processus indispensable qui permet de créer des relations, liens afin d’améliorer les échanges dans le monde. Sans la mondialisation, le monde n’aurait pas connu une telle évolution en matière d’échanges de biens et de services, d'hommes ainsi que de cultures.

Groupe 5 : Selon nous, La mondialisation est un processus où les échanges de biens, de services, de produits, de personnes, de cultures créent des interactions importantes dans les différentes parties du monde.

Guevorg : Comme une création d’un marché à l’échelle planétaire. Les échanges sont facilités mais les particularités seront en disparition. Elle a des points positifs, comme des points négatifs, selon comment elle sera « utilisée ».


2.    Que pensez-vous de la place de la France dans le monde ?


Groupe 1 : La France a une grande place au niveau diplomatique et économique. Elle se place 5 ou 6ème en terme d’exportations dans le monde et est représentée dans des organismes internationaux.

Groupe 2 : La France est actuellement placée 5eme au classement mondial des pays les plus riches. Elle est une grande puissance économique et politique. Celle-ci est bien placée de par ses échanges avec les plus grandes puissances du monde telles que les États-Unis, l’Allemagne et les pays émergents. Le domaine dans lequel elle exporte le plus est l’agroalimentaire (Ex : Le vin, Le fromage).

Groupe 3 : En comparaison avec les pays de même envergure que la France, on peut dire qu’elle fait partie des plus grandes puissances, 5è place dans le rang mondial. Cependant elle régresse avec l’arrivée de nouveaux concurrents depuis quelques années, comme la Chine, par manque d’innovation.

Groupe 4 : La France est une puissance mondiale, autant sur les points économique, culturel, politique. En effet, elle a imposée sa place dans le monde, malgré les difficultés qu’elle a pu rencontrer comme la crise économique. Elle a su garder sa notoriété, d’un pays de « luxe » ainsi que touristique.

Groupe 5 : Sur l'aspect mondial, La France est un pays très important, économiquement et culturellement. En effet, elle est cinquième puissance mondiale, et le pays le plus visité du monde. La France est un carrefour commercial, de la Triade et fait partie de la Dorsale européenne.

Guevorg : Tout d’abord, la France fait partie des 5 premières puissances mondiales. Elle a aussi une notoriété et est le pays le plus visité au monde. Cette image d’un pays des lumières, de l’art, de la mode, du romantisme, de l’architecture, d’une des plus grandes et plus admirées gastronomies du monde, la France détient une place remarquable et importante dans le monde.


3.    Que pensez-vous du « Made in France » ? Peut-on s’en servir comme d’un argument de vente ?


Groupe 1 : Le « Made in France » est un bon indicateur, car on sait d’où vient le produit, c’est un rapport de sureté pour les consommateurs. Cela permet de relancer l’économie nationale, de créer de l’emploi. On peut s’en servir comme argument de vente car on connait le traçage du produit et son acheminement, cela est une sorte de publicité pour les produits venant du territoire français, comme les produits de luxe ou la gastronomie.

Groupe 2 : Nous pensons que le concept Made In France assure la qualité et l’authenticité du produit et permet a de petits producteurs régionaux de sauvegarder leurs emplois.
Nous pouvons nous servir du concept Made In France comme argument de vente car celui-ci rassure les consommateurs sur la provenance des produits qu’ils achètent, car la France est une puissance mondiale. Ensuite le Made In France est un argument qui fait vendre notamment dans le domaine du textile sachant que Paris est la capitale de la mode dans le monde entier.

Groupe 3 : En France, il y a un certain savoir-faire et une qualité de production qui mérite d’être reconnue, c’est pourquoi l’idée d’un « made in France » est un atout pour nos commerciaux.
Le « made in France » repose sur une qualité reconnue pour comparer avec le « made in China » qui comprend plein de préjugés, c’est donc un bon argument de vente grâce à sa réputation estimée des autres.

Groupe 4 : Le concept « made in France » est valorisant car il permet de reconnaître son savoir-faire à travers le monde. De plus cette marque a un effet rassurant sur le consommateur et lui garantit des produits de qualité. De ce fait, la marque « made in France » peut être utilisée comme un argument de vente.

Groupe 5 : Le « Made In France » est une opportunité sur le plan mondial valorisant ainsi les produits et leurs entreprises, mettant ainsi la qualité du produit en avant.
Oui, en se basant essentiellement sur la qualité et la traçabilité des produits.

Guevorg : Cela inspire de la confiance dans le produit, en France, comme à l’étranger et traduit à travers ces mots la notoriété que détient la France dans le monde, avec les normes et la qualité de ses produits. Il a surtout plus d’influence sur la confiance des consommateurs, quand il est présent sur des produits comme le vin ou le fromage, pour lesquels la France a une reconnaissance mondiale. Bien sûr, car comme il est dit précédemment, il inspire de la confiance chez les consommateurs consternant la qualité des produits en question. Les produits agricoles, pharmaceutiques et technologiques particulièrement.


4.    Pourquoi voulez-vous faire du commerce international ?

Groupe 1 : Nous voulons faire du commerce international car nous aimons découvrir d’autres cultures, voyager, avoir l’opportunité de découvrir beaucoup de choses, et pouvoir travailler en relation avec d’autres pays. De plus, c’est un challenge de pouvoir faire du commerce dans une autre langue.

Groupe 2 : Nous voulons faire du commerce international car plus tard nous avons comme projet de travailler dans le commerce avec des pays différents. Nous trouvons intéressant d’apprendre sur d’autres cultures et sur le fait d’échanger.

Groupe 3 : Nous voulons faire du commerce international pour l’ouverture mondiale et la mobilité internationale.

Groupe 4 : Le commerce international m’a attirée pour son ouverture sur le monde, la découverte d’autres cultures. De plus les langues ont toujours fait partie de mes matières favorites et cela me plait de les pratiquer dans un contexte commercial.

Groupe 5 : Nous avons choisi de faire ce BTS Commerce International dans le but de gagner notre vie convenablement, pour les voyages, l'apprentissage des langues et les cultures, trois éléments importants qui nous ont influencés pour le choix de nos études après le BAC.

Guevorg : Tout d’abord, car le commerce m’intéresse et plus particulièrement son aspect international. La découverte des différentes cultures, des différentes langues et les échanges internationaux me passionnent beaucoup.


5.    Si vous aviez le choix, avec quels pays aimeriez-vous travailler en priorité et pourquoi ?

Groupe 1 : Si nous avions le choix, nous partirions à destination des États-Unis, du Brésil, du Japon, ou de l'Afrique du Sud, car ce sont des pays assez fort économiquement et qui ont spécialement un impact sur le commerce international.

Groupe 2 : Si nous avions le choix nous travaillerions avec la Chine et le Japon, parce que le Japon est avancé au niveau technologique. Le Japon c’est l’avenir. Ils sont avancés technologiquement grâce à leurs robots, ordinateurs et la Chine car la main d’œuvre est peu coûteuse.

Groupe 3 : Nous aimerions travailler avec les pays émergents pour les aider à se développer et créer des opportunités manquantes.

Groupe 4 : Les Etats-Unis car c’est une puissance mondiale. De plus, il y’a les grands quartiers d’affaires. Puis la Chine ou le Japon car ce sont des pays en plein essor avec une culture différente et très marquée. D’autant plus que pour une création d’entreprise la main d’œuvre est moins chère et donc le bénéfice est plus important.

Groupe 5 : Si nous devions choisir des pays avec lesquels on pouvait travailler, ces pays seraient les États-Unis, la Grande-Bretagne, le Japon, la Chine, la Russie et la Corée du Sud. Il y a plusieurs raisons à cela : le niveau de développement des pays cités, qu'ils soient développés ou en pleine émergence, les secteurs d'activités présents dans le pays, et les opportunités que les pays offrent pour lancer ou non notre propre entreprise par exemple.

Guevorg : Cela dépend du domaine d’activité, mais généralement parlant, avec les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), car étant les plus grands pays émergents, ils sont potentiellement des futures superpuissances économiques et il serait intéressant à mon avis, de s’investir dans ces directions.


6.    La moitié de l’humanité est originaire d’Asie. Qu’est-ce que cela vous inspire ?

Groupe 1 : Cela m’inspire qu’il faut se relever économiquement, et travailler avec ces pays-là pour pouvoir garantir une croissance très forte pour notre pays. En pleine expansion économique et démographique, la plupart de ces pays peuvent amener la France au renouveau. Il faut tirer profit de leur futur puissance financière (Chine et Japon : créancier de l’Europe et des USA).

Groupe 2 : L’Asie possède le pays le plus peuplé au monde, c’est un continent qui est puissant, avancé au niveau technologique. Leur culture pourrait effacer les autres cultures.

Groupe 3 : Si on arrivait à s’implanter en Asie, on pourrait conquérir la moitié de la population mondiale.

Groupe 4 : Il faut favoriser les échanges avec l’Asie car ce continent peut être un partenaire commercial de qualité qu’il faut garder dans le temps. C’est un continent incontournable pour faire des affaires.

Groupe 5 : Nous allons présenter cette réponse en deux parties : premièrement les aspects positifs, et ensuite les aspects négatifs.
Tout d’abord, il faut savoir que la Chine est un pays émergent, un pays très commercial, avec une culture qui se développe et s’adapte facilement. Après avoir parlé des aspects positifs, nous allons parler des points négatifs d’après notre point de vue.
D’après nous, si la Chine se mettait à consommer comme nous les Européens, il y aurait un phénomène de surconsommation, ce qui ne serait pas bon pour la planète.

Guevorg : Un peu de crainte.


7.    D’après vous, quels talents vous seront nécessaires pour réussir dans votre mission de développeur d’affaires à l’export ?

Groupe 1 : La communication (les talents linguistiques) est la chose primordiale à maitriser et la rapidité d’adaptation.

Groupe 2 : Les talents nécessaires pour réussir dans la mission de développeur d’affaires à l’export sont : Avoir le sens de la communication, une bonne ouverture d’esprit, une facilité d’adaptation, avoir le sens de la négociation, et avoir l’apprentissage facile d’autres cultures. 

Groupe 3 : Une bonne adaptation, des compétences organisationnelles, le respect et la modestie mais aussi les compétences linguistiques, les connaissances culturelles, et faire preuve d’entregent.

Groupe 4 : Pour réussir une mission de développeur d’affaires à l’export, il fait tout d’abord avoir une bonne connaissance du pays ciblé ; être organisé ; ouvert d’esprit et très rusé pour dénicher les meilleures opportunités.

Groupe 5 : Les talents qui nous seront les plus nécessaires seront : savoir s’adapter, le respect, la compréhension du concept de culture, la connaissance du pays hôte (culture et langues ), être diplomate, la connaissance de soi, la maîtrise de la communication interculturelle et des compétences organisationnelles, un engagement personnel dans l’interculturel.

Guevorg : Des connaissances, de la culture générale,  de l’ouverture d’esprit, des compétences dans la communication, de la sociabilité, de la motivation et de la volonté.


8.    A part l’anglais, quelles sont les langues que vous aimeriez-savoir parler ? Pourquoi ?

Groupe 1 : A part l’anglais, j’aimerai parler espagnol car c’est une langue de plus en plus présente aux USA et en Amérique du Sud. J’aimerai parler également le chinois et le brésilien. Elles me permettent d’être plus efficace dans ma mission de développeur d’affaires.

Groupe 2 : Les langues que nous aimerions parler en dehors de l’anglais sont le mandarin et l’espagnol car l’Asie est présent sur de nombreux marchés dans le monde, ils sont avancés technologiquement, et l’espagnol car c’est la deuxième langue la plus utilisée dans le monde.

Groupe 3 : Le chinois et l’arabe, qui sont pour nous les langues d’avenir, et l’espagnol et le portugais qui correspondent aux pays d’Amérique latine et donc aux pays en développement.

Groupe 4 : Le mandarin et l’arabe littéraire car ce sont des langues beaucoup parlées dans le monde et nous pratiquons déjà l’anglais et l’espagnol. De plus ses langues sont parlées dans des pays en plein développement (Émirats Arabes Unis, Chine…)

Groupe 5 : Les langues que l'on aimerait apprendre seraient le Japonais, le Chinois, l'Allemand, l'Arabe, l'Espagnol et le Russe. Nous avons choisi ces langues car d’après nous, ce sont des langues parlées dans des régions, des pays qui présentent des opportunités pour nous plus tard au niveau commercial.

Guevorg : L’espagnol, car c’est la langue la plus parlée dans le monde après l’anglais, le russe (que je maitrise)  car après l’espagnol c’est la langue la plus parlée mais aussi, car la Russie est une superpuissance et a un grand potentiel économique et humain. Puis, chinois et ensuite portugais, pour la Chine et le Brésil, pour des raisons économiques.


9.    Quels sont les dernières tendances technologiques qui pour vous changerons le monde ?
 
Groupe 1 : Internet, fibre optique, smartphones, tablettes.

Groupe 2 : Les dernières tendances technologiques qui pour nous changerons le monde sont les ordinateurs, smartphones, et les robots.

Groupe 3 : Les robots pourront changer le monde dans la mesure où les robots remplaceront les hommes. L’avancée des technologies liées à internet changeront également le monde.

Groupe 4 : Ce sont toutes les tendances qui concernent le multimédia (téléphonie, informatique…), car de nos jours ce sont des éléments indispensables de la vie quotidienne. Aujourd’hui un téléphone remplace plusieurs produits.

Groupe 5 : Informatique, motorisation, Internet.

Guevorg : Les avancés dans l’informatique et surtout dans les smartphones et tablettes, car ils pourront à mon avis pour les générations suivantes, changer complétement leur perception des choses. Il ne faut bien sûr pas oublier le rôle d’internet, qui se développe de plus en plus et devient de plus en plus accessible et accélère exponentiellement la communication et la transmission d’informations.


10.    La crise financière modifie-t-elle votre perception en termes d’avenir et de carrière ?

Groupe 1 : Ça joue forcément mais il y a aussi un facteur chance à prendre en compte.

Groupe 2 : Oui, la crise financière modifie notre perception en termes d’avenir et de carrière car celle-ci réduit le travail.

Groupe 3 : Oui la crise financière peut modifier notre perception en terme d’avenir et de commerce au niveau du développement et de l’avancement du pays dépendent du niveau économique de ce dernier.

Groupe 4 : Oui, avec la crise financière nous cherchons plus à acquérir de l’expérience que de faire de longues études. On ne peut plus être assuré d’avoir un travail après un bac+5. On préfère se tourner vers les pays étrangers qui proposent plus de travail dû à leur développement.

Groupe 5 : La crainte de trouver un travail, on ne peut prédire notre avenir. «  On se dit que l’on aura un diplôme, mais on se demande surtout : Que pourra-t-on faire avec ce diplôme ?

Guevorg : Oui, dans la bonne prise de décision et dans la prudence.


11.    D’après vous la protection de la planète et de la biodiversité est-elle compatible avec la croissance des échanges ?

Groupe 1 : Oui, c’est faisable, mais c’est très difficile à mettre en place car il faudrait modifier toutes les habitudes que l’on a et augmenter l’utilisation d’énergies renouvelables et mettre une institution politique internationale en place.

Groupe 2 : Non, on ne peut pas continuer à faire autant d’échanges et protéger la planète en même temps, plusieurs facteurs comme la déforestation ne sont pas compatible avec la croissance des échanges

Groupe 3 : La protection de la planète et de la biodiversité ne sera jamais compatible avec la croissance des échanges. C’est un paradoxe, car plus on a de croissance des échanges, moins on pourra protéger la planète et la biodiversité.

Groupe 4 : Oui, on peut faire du commerce et protéger la planète d’ailleurs c’est ce qu’il faut faire. Mais de nos jours les entreprises préfèrent faire un maximum de profit sans penser aux générations futures.

Groupe 5 : D’une part, les ressources naturelles sont en constante baisse, ce qui augmente la pollution ce qui veut dire que cela est nocif pour la biodiversité.
D’autre part, la pollution crée par les échanges augmentent, ce qui détériore l’environnement et de ce fait rend la protection de la Terre difficile.   

Guevorg : Oui, à mon avis l’un ne dérange pas l’autre et qu’il est possible de progresser dans tous les domaines, tout en respectant notre planète. Et c’est en effet la seule option possible, si on regarde au long terme, car si on continue comme ça, sans rien changer, on va foncer droit au mur.


12.    Que vous inspire le développement durable dans un contexte de guerre économique ?
 
Groupe 1 : Le développement durable est difficile à mettre en place dans un contexte de guerre économique si chaque entreprise veut faire son profit et utilise les ressources.

Groupe 3 : Dans le contexte d’une guerre économique, le pays va concentrer toute ses compétences pour faire du profit et non pour le développement durable.

Groupe 4 : Sachant que la guerre économique est de plus en plus intense, les entreprises ont plus pour objectif de s’en sortir financièrement plutôt que de s’occuper du développement durable.

Groupe 5 : Dans un contexte de guerre économique, le développement durable inspire une contrainte de temps et d’argent, dans la lutte « aux plus rentables ». Le fait de devoir changer la production ou d’instaurer des normes va ralentir le développement économique.

Guevorg : Le développement durable comme tel, est inévitable et est le futur dans le développement en général et pas seulement économique. Dans un contexte de guerre économique, il est clair donc, que le développement durable sera la clé de la réussite économique.


Découvrez la nouvelle édition du Glossaire du Commerce International



Commentaires

Articles les plus consultés